599. La tour de Babel aujourd’hui : un gouvernement mondial...

Publié le par marike

Plusieurs groupes ou entités  ont le même but : 1) Les Illuminati, 2) Le Nouvel Ordre Mondial, 3) Le Council on Foreign Relations ou CFR (Conseil des relations étrangères ou CRE) 4) La Trilatérale, 5) Bildeberg... 

Un gouvernement mondialLes dirigeants de ces groupes cherchent à instaurer un gouvernement mondial, dirigé par les États-Unis et comportant l’abandon des souverainetés nationales. Ils sont alliés pour certains aux Francs-Maçons (selon Wikipédia,la Franc-Maçonnerie est plurielle : principalement chrétienne, ou morale, ou  agnostique, ou ésotérique). Ce gouvernement  contrôlerait tout, comme le ferait celui d’un seul pays.

Contre ce projet, en 1958, l'industriel américain Robert W. Welch, Jr. fonde la John Birch Society (JBS), un groupement politique anticommuniste, chrétien et patriotique. Lors du discours d'inauguration de la JBS, Robert W. Welch expose le complot qui menacerait selon lui les États-Unis, mené par un groupe secret et visant à établir une hégémonie mondiale via la passation progressive de la souveraineté des nations à des organisations internationales.

Une conspiration pluri-séculaire ? Selon certaines théories,  il s'agit d'une conspiration pluri-séculaire, visant à la domination du monde et réalisant ses plans de manière progressive à travers l'histoire. Les événements du monde seraient ainsi orchestrés par un groupe d'individus agissant dans l'ombre, de longue date porteurs d'un projet totalitaire (définition : un régime à parti unique, n'admettant aucune opposition organisée et dans lequel l'État tend à confisquer la totalité des activités de la société...). 

Les groupes conspirateurs : les groupes désignés comme les conspirateurs varient considérablement selon les versions. Des groupes réels, sociétés secrètes ou du monde des affaires, sont désignés comme étant le « cerveau » derrière ce vaste projet secret de contrôle du monde : les organisations et fondations élitistes internationales telles que leCouncil on Foreign Relations, la Commission Trilatérale, le groupe Bilderberg, le Club de Rome, la Fondation Ditchley ou bien des groupes fermés comme les francs-maçons,Skull and BonesBohemian ClubOrdo Templi Orientis, etc.


Les théories du complot affirment donc une unicité de pensée de la classe dirigeante qui est généralement discutée. Influence de la Franc-Maçonnerie. Loi du secret. Les décisions se prennent avec fort peu de gens parmi tous les participants (hiérarchie des niveaux de participation).

           

David Rockefeller (président du conseil international des banques) le personnage central de ces projets et réalisations) dans son livre Mémoires ( Mémoires, Fallois, 12 avril 2006, 607 pages, (ISBN 2877065871)[r24, a écrit que lui-même et sa famille ont travaillé contre l'intérêt des États-Unis. Il aurait d'autre part affirmé que le but était de construire une souveraineté supranationale d'une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux25. Ces propos sont vus comme l'aveu d'une conspiration mondiale pour la mise en coupe réglée du monde par le pouvoir financier.

Le programme (International Institutions and Global Governance) se focalise sur quatre grands défis :

  • Contrer les menaces transnationales parmi lesquelles le terrorisme, la prolifération d'armes de destruction massive et de maladies infectieuses ;
  • Protéger l'environnement et promouvoir la sécurité énergétique ;
  • Gérer l'économie mondiale ;
  • Prévenir et répondre à des conflits violents.

Livres : en français

  • Rencontres au sommet : quand les hommes de pouvoir se réunissent de Michael Gama, L'Altiplano (20 mars 2007), ISBN 978-2-35346-016-8 (Une enquête sur les membres du groupe Bilderberg et de la commission Trilatérale, entretien avec Pierre Marie Gallois)
  • Tous pouvoirs confondus : État, capital et médias à l'ère de la mondialisation de Geoffrey Geuens, éditions EPO (15 mars 2003), 470 pages, ISBN 2-87262-193-8, p. 30-37.
  • La Trilatérale et les secrets du mondialisme de Yann Moncomble, éd. Faits et Documents, 1980. (commentaire chez Amazon : livre important. Le pouvoir de la drogue. La presse sous le pouvoir de l’argent...)
  • Faits et chroniques interdits au public J’ajoute le tome I Broché, à la liste :
    Pierre (1922-2008) et Danielle de Villemarest  : 2003 
  • Faits et chroniques interdits au public : Tome 2, les secrets de Bilderberg, Aquilion, 2004, (ISBN 2951741529).( et autres livres sur la question, cf Amazon)
  • Faits et chroniques interdits au public : Tome 3, la Trilatérale, Aquilion, 2007, (ISBN 2951741545).
    (Son dernier ouvrage ("Le KGB au coeur du Vatican", éditions de Paris) est paru en 2006.
  • Gérard Soulier, "La Trilatérale, l’Europe et la France du VIIIe plan", in Sur l’Europe des années 80PUF, 1980, pp 13-56.

Ma conclusion : cela est-il bon d’avoir un seul gouvernement pour le monde (mondialisation) ? L’Europe pour laquelle on a voulu supprimer les nations a été un échec flagrant que tout le monde reconnaît aujourd’hui. Pour moi, la spiritualité doit être alliée  à la politique dans un Etat. Si le seul but est économique, (homo economicus) l’on va à un échec certain. L’on n’a pas voulu inscrire les racines judéo-chrétiennes dans la constitution européenne : là est pour moi la cause de l’échec européen... un corps sans âme. 

            Mais jetons un regard sur la fiction : le héros national espagnol : Don Quichote : ses grands projets se réalisent dans le ridicule. L’orgueil humain veut rivaliser avec Dieu en construisant un monde parfait, mais nul ne doit rivaliser avec Dieu, tel est le sens du récit de « La Tour de Babel » ( Bible, Genèse chap. 11) (Babel voulant dire confusion) :

Bâtissons-nous une tour dont le sommet atteigne les cieux (Gen. 11.4).

Ici l’homme ne cherche plus à atteindre les cieux (Dieu), par ses propres moyens, mais il cherche à faire oublier Dieu aux hommes (l’au-delà des étroites limites de leur naissance et de leur mort, de la connaissance humaine) par un gouvernement rêvé parfait du monde qui leur donne l’illusion du bonheur « animal » et leur rende Dieu superflu.

            Le projet qui se passe de la Transcendance, de Dieu, projet trop ambitieux, irréaliste, contient en lui-même les germes de sa destruction.
             La conquête de l’homme, c’est d'abord la conquête de soi, c’est la conquête de chaque homme à partir de lui-même. C’est le « connais-toi toi-même » de Socrate, de Platon, eux-mêmes religieux.  

            J’imaginerais plutôt, plus humblement, de s'attacher d'abord au gouvernement d'une seule nation pour la gouverner au mieux, puis une entente des nations, avec des comités mixtes (pas seulement des puissants, mais des représentants du peuple) qui discutent des problèmes communs, dans tous les domaines, et instaurent peu de normes, mais des normes reçues à l’unanimité et qui doivent être respectées (chez nous les recommandations de la Cour des comptes, par exemple...) ?  Je ne peux aller plus loin. La tour de Babel s’est effondrée.

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DOCUMENTATION sur le projet de gouvernement mondial

I - Les Illuminati

Wikipedia : théorie du complot :
Les théories du complot Illuminati sont des 
théories conspirationnistes qui prétendent que la « société de pensée  » allemande des Illuminati de Bavière, historiquement dissoute en 1785, aurait perduré dans la clandestinité et poursuivrait un plan secret de domination du monde. Ces théories, dont la première mention remonte à l'ouvrage deJohn RobisonProof of a Conspiracy, publié en 1797, se confondent avec les théories du complot maçonnique en avançant que les Illuminati réalisent leur plan en infiltrant les différents gouvernements, en particulier ceux issus de révolutions, et les autres sociétés initiatiques dont la franc-maçonnerie.

http://www.syti.net/Organisations/Illuminati.html

Secte secrète qui remonte à 5000 ans... Sumer et Babylone. ... 
Existence depuis le 18e s. pour anéantir les monarchies absolues.

Les plus grandes familles (royales  + finances) des EU et européennes. Puis Maîtres du monde : «de conspirateurs subversifs, ils sont passés au statut de  dominateurs implacables dont le but essentiel est de perpétuer leur pouvoir sur la population ».  Contrôler le système financier mondial pour parvenir à une domination totale sur le monde. La fin programmée de la démocratie (une liberté sous surveillance électronique). Dictature cachée. Individus génétiquement programmés. Contrôle des esprits, implants, traçabilité. Se présentent au public comme des personnes éminemment rationnelles et matérialistes 

La musique Rapp avoue son appartenance aux Illuminati (pour abrutir le monde)

Au fil du temps, les membres de ce groupe sont passés du statut de conspirateurs subversifs à celui de dominateurs implacables dont le but essentiel est de perpétuer leur pouvoir sur la population.

Les membres des Illuminati ne sont pas connus de manière certaine, même si certains noms circulent avec insistance. Il s'agit de grandes familles capitalistes ou issues de la noblesse, comme par exemple les Rockefeller (notamment l'incontournable David Rockefeller, également co-fondateur du groupe Bildeberg  et du CFR), les Bush, les Rothschild, les Harriman, les Russel, les Dupont, les Windsor et d'autres familles royales européennes.
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Informations résumées à l’essentiel tirées de plusieurs sites de Wikipedia :

II - Le Nouvel Ordre Mondial : l’expression, utilisée lors d'un discours prononcé au Congrès des États-Unis le 11 septembre 1990 par le président George H. W. Bush2, est un concept géopolitique de l'immédiat après-guerre froide. La formule « nouvel ordre mondial » est parfois mentionnée par son acronyme NOM (ou NWO en anglais). L'expression désigne alors l'alignement idéologique et politique des gouvernements et organismes mondiaux vers une certaine unipolarité, incarnée par les États-Unis. Depuis lors, elle est réemployée dans d'autres contextes où il est diversement question de consolider une gouvernance mondiale (en matière financière ou environnementale, par exemple).

Étant données l'échelle envisagée et la complexité des problématiques, une gouvernance mondiale pose la question de la démocratie. En effet, dans un tel cas, les dirigeants sont éloignés géographiquement et la technicité des sujets rendent la discussion difficile. De plus, l'usage de la désinformation en démocratie sépare encore plus les dirigeants des dirigés et suscite parfois une méfiance généralisée à l'égard des dirigeants.

Certains partisans de ce concept vont jusqu'à faire valoir que celui-ci tend à transformer progressivement les pays démocratiques en des régimes ipso facto totalitaires de par la prise de contrôle de l'économie mondiale par les élites dirigeantes, notamment de la finance, avec le soutien de la franc-maçonnerie (critique antimaçonnique).
            À partir des 
années 2000, les États-Unis connaissent un certain nombre d'échecs, fréquemment associés à des erreurs commises spontanément. Ces erreurs conviennent mal à une nation disposant en théorie d'une puissance suprême, on peut citer :

·         les difficultés rencontrées dans la gestion de la guerre d'Irak après 8 années de présence ;

·         les difficultés rencontrées dans la gestion de la guerre en Afghanistan, après 10 années de présence ;

·         la grave crise bancaire, économique et sociale survenue à partir de 2008, et qui, partant des États-Unis, a contaminé une grande partie de l'économie mondiale, y compris les pays alliés des États-Unis.

La suprématie du dollar comme monnaie de réserve rencontre plus d'opposition, et plusieurs acteurs mondiaux envisagent de restreindre son importance dans le commerce international. Enfin l'émergence de la Chine comme nouvelle puissance économique et la montée en puissance de l'Organisation de Coopération de Shanghaï contribuent à rendre caduque l'unilatéralité qui marquait les relations internationales dans les années 1990.

L'écrivain Bernard Werber, comme avant lui le philosophe Bertrand Russell se dit favorable à un gouvernement unique de la planète, ainsi qu'« optimiste sur le long terme, mais pessimiste pour le court terme ».

Il existe plusieurs 
théories du complot utilisant la formule « nouvel ordre mondial » (qu'elles désignent par l'acronyme NWO, ou NOM en français). Elles dénoncent un projet de domination planétaire, à travers des institutions prétendument démocratiques, des institutions non gouvernementales ou bien des régimes totalitaires. En ce sens, le « nouvel ordre mondial » se rapproche du livre 1984 de George Orwell ou du Meilleur des mondes d'Aldous Huxley.

En 1958, Aldous Huxley publie Retour au meilleur des mondes (Brave New World Revisited) un essai dans lequel il effectue un rapprochement entre l'évolution du monde et l'univers du Meilleur des MondesAldous Huxley ne donne aucune explication conspirationniste sur cette évolution, mais ses origines et sa famille en font un observateur privilégié des courants de pensées des élites anglaises, notamment en ce qui concerne le darwinisme social et l'eugénisme.
Toujours en 1958, l'industriel américain 
Robert W. Welch, Jr. fonde la John Birch Society (JBS), un groupement politique anticommuniste, chrétien et patriotique. Lors du discours d'inauguration de la JBS, Robert W. Welch expose le complot qui menacerait selon lui les États-Unis mené par un groupe secret et visant à établir une hégémonie mondiale via la passation progressive de la souveraineté des nations à des organisations internationales. Il fait campagne en 1959, pour obtenir le retrait des États-Unis de l'Organisation des Nations unies, qu'il accuse de vouloir instaurer un gouvernement mondial. En 1971, Robert W. Welch exposera dans un discours l'idée que les communistes ne se trouveraient pas au sommet de la conspiration mais qu'ils ne représentent qu'une de ses branches. Il baptisera les maîtres supposés de cette conspiration « The insiders » (les infiltrés) et les reliera directement aux illuminati de Bavière du xviiie siècle.

Selon l'historien Carroll Quigley, les élites du capitalisme financier, qu'il situe dans la période de 1850 à 1932, avaient comme ambition de créer un système mondial de contrôle financier dans les mains du secteur privé capable de dominer le système politique de chaque pays et l'économie mondiale d'un seul tenant13. Selon Quigley, le pouvoir est ensuite passé des banquiers aux technocrates et aux groupes de pression, faisant usage de la propagande. Son analyse date de 1966, et depuis, un mouvement dedérégulation en faveur de la finance s'est développé, ayant abouti à la crise financière d'après 2007. La dette privée a été transformée en dette publique, et cette dernière est utilisée comme argument pour mener des plans d'austérité. Contrairement à ce qu'affirment les théories du complot, la situation n'est pas sous contrôle et ces décisions ont entrainé de nombreuses contestations populaires.

En 1971, Gary Allen publie un livre intitulé None dare call it a conspiracy (« Que personne n'ose appeler cela un complot ») reprenant les thèses de Welch et Quigley et faisant le lien avec la politique de l'administration Nixon (entre autres la réforme du système éducatif).

Selon certaines théories, donnant beaucoup d'importance à un groupe appelé Illuminati, il s'agit d'une conspiration pluri-séculaire, visant à la domination du monde et réalisant ses plans de manière progressive à travers l'histoire. Les événements du monde seraient ainsi orchestrés par un groupe d'individus agissant dans l'ombre, porteurs d'un projet totalitaire de longue date. Les groupes désignés comme les conspirateurs varient considérablement selon les versions. Des groupes réels, sociétés secrètes ou du monde des affaires, sont désignés comme étant le « cerveau » derrière ce vaste projet secret de contrôle du monde : les organisations et fondations élitistes internationales telles que leCouncil on Foreign Relations, la Commission Trilatérale, le groupe Bilderberg, le Club de Rome, la Fondation Ditchley ou bien des groupes fermés comme les francs-maçons,Skull and BonesBohemian ClubOrdo Templi Orientis, etc.

Les théories du complot affirment donc une unicité de pensée de la classe dirigeante qui est généralement discutée.Influence de la Franc-Maçonnerie.

Indices

Les théoriciens du complot du NOM interprètent plusieurs événements comme les signes fragmentaires d'un plan global.

Ainsi John Maynard Keynes, principal représentant du Commonwealth lors des discussions autour de la création du système de Bretton Woods, a insisté pour la création d'uneBanque de règlement internationale. Une telle banque aurait eu la prérogative d'émettre une monnaie internationale appelée le « bancor », ainsi que de financer une autorité de gouvernance supranationale21. Si sa démarche n'a pas eu de succès, l'équivalent d'une monnaie internationale, les droits de tirage spéciaux, fut finalement créé par le Fonds monétaire international (FMI) en 1969. Cela pose la question du rapport entre la création monétaire et la démocratie.

Un rapport de la Commission Trilatérale de 1975, intitulé The Crisis of Democracy22, est souvent évoqué par les théoriciens du complot pour dénoncer une dérive dictatoriale des gouvernements occidentaux. Selon ce rapport, le sentiment d'aliénation des citoyens ainsi que l'action des intellectuels menacent la gouvernance dans ces pays, qui nécessiteraient « un recours à la manipulation, au compromis et même à la coercition pour arriver à une décision »23.

David Rockefeller dans son livre Mémoires ( Mémoires, Fallois, 12 avril 2006, 607 pages, (ISBN 2877065871)[r24, a écrit que lui-même et sa famille ont travaillé contre l'intérêt des États-Unis. Il aurait d'autre part affirmé que le but était de construire une souveraineté supranationale d'une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux25. Ces propos sont vus comme l'aveu d'une conspiration mondiale pour la mise en coupe réglée du monde par le pouvoir financier.

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III - Le Council on Foreign Relations ou CFR (Conseil des relations étrangères ou CRE) est un think tank non partisan américain, ayant pour but d'analyser la politique étrangère des États-Unis et la situation politique mondiale. Fondé en 1921, il est composé d'environ 5 000 membres issus du milieu des affaires, de l'économie et de la politique. Son siège se situe à New York avec un bureau à Washington D. C.. Le CFR est considéré comme l'un des think tanks les plus influents en politique étrangère1,2,3. Il publie une revue bi-mensuelle, Foreign Affairs, dispose d'un site web très consulté, publie de nombreux rapports et livres ainsi que des vidéos (son Crisis Guides a gagné un Emmy award4). À ne pas confondre avec le Committee on Foreign Relations (Comité des affaires étrangères du Sénat des États-Unis).

... Le programme
N 2 (International Institutions and Global Governance)

s'affranchir des barrières politiques et faire travailler ensemble des démocrates et des républicains.

se focalise sur quatre grands défis :

·         Contrer les menaces transnationales parmi lesquelles le terrorisme, la prolifération d'armes de destruction massive et de maladies infectieuses ;

·         Protéger l'environnement et promouvoir la sécurité énergétique ;

·         Gérer l'économie mondiale ;

·         Prévenir et répondre à des conflits violents.

quelques-uns de ses membres sont également des Bilderbergers, tandis que d'autres sont membres de la Commission Trilatérale, des institutions qui tentent de peser sur les décisions prises dans les domaines de la régulation de l'économie mondiale et la géopolitique.

Jusqu’en 1960 : apparemment  no problem ; après ...
Les critiques

Pour certains proches de la John Birch Society (valeurs judéo-chrétiennes, anticommunisme), le CFR serait contrôlé par un groupe de personnes issues des sociétés secrètes d'étudiants des universités Yale et Harvard : le Skull and Bones (d’origine allemande (revanche et orgueil), regroupe des sociétés secrètes, culte de la force et volonté de prise de pouvoir avec cooptation des membres) et le Scroll and Key (scission ancienne avec Skull and Bones). Ces personnes, après leur prétendue intégration dans un groupe d'élite appelé « JASON Society », seraient élues par leurs pairs pour constituer le comité exécutif du CFR. La John Birch Society soutient que le Conseil des relations étrangères se voue à la formation d'un gouvernement mondial22.
            En 1980, l'un de ses représentants et membre du Congrès des États-Unis, 
Larry McDonald, voulut lancer une enquête parlementaire sur le Conseil des relations étrangères ainsi que la Trilatérale via la résolution 77323.

L'influence de certains intérêts privés sur les médias a été étudiée de manière générale par Noam Chomsky et Edward Herman via leur modèle de propagande (1988).

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IV- La Commission Trilatérale (parfois abrégée en Trilatérale) est une organisation privée qui fut créée en 1973 à l'initiative des principaux dirigeants du 
groupe Bilderberg et du Council on Foreign Relations, parmi lesquels David RockefellerHenry Kissingeret Zbigniew Brzezinski. Regroupant 300 à 400 personnalités parmi les plus remarquées et influentes – hommes d’affaires, hommes politiques, décideurs, « intellectuels » – de l’Europe occidentale, de l’Amérique du Nord et de l'Asie du Pacifique (États dont la plupart sont également membres de l'OCDE), son but est de promouvoir et construire une coopération politique et économique entre ces trois zones clés du monde, pôles de la Triade. À l'instar du groupe Bilderberg, il s'agit d'un groupe partisan de la doctrine mondialiste, auquel certains attribuent, au moins en partie, l'orchestration de la mondialisation économique.     

Fondation : L’idée de la création de cette organisation fut initialement émise en juin 1972 par David Rockefeller, lequel fut rapidement rejoint parZbigniew Brzezinski. La Commission Trilatérale fut officiellement créée à Tokyo le 1er juillet 1973. À cette époque, le leadership mondial des États-Unis commençait à être fragilisé dans le secteur industriel et commercial par les performances de l’Allemagne et du Japon, l’idée était de substituer à la direction américaine un partenariat trilatéral1.  

            Le document précise que le système de l’après-guerre était dépassé (« une puissance était prédominante tandis que les autres lui étaient étroitement associées »), et qu’il était nécessaire de « promouvoir un ordre international plus équitable », en mettant en place un « travail en commun entre les régions trilatérales, la Commission devant générer le contexte favorable à la concrétisation de cet effort »2          
            Tout ne se passa pas comme prévu dans le camp américain du fait de l'émergence du 
courant néo-conservateur, en particulier à partir du mandat de Ronald Reagan, qui succéda à Jimmy Carter(ancien membre de la Trilatérale) et s'attacha à réaffirmer le leardership américain.
            Sur l'histoire de la Commission Trilatérale, outre les différentes ressources citées, on peut consulter l'ouvrage paru à l'occasion de ses 25 ans (voir la bibliographie). Publié par la Trilatérale, il comporte de nombreuses anecdotes et une collection de photographies assez étonnantes comme la Trilatérale reçue par 
Juan Carlos Ier d’EspagneJean-Paul IIMargaret ThatcherMikhaïl Gorbatcheven 1989, ou celle de François MitterrandYitzhak Shamir et Yasser Arafat en 1990.
            Le groupe européen a atteint son plafond de 150 membres. Le nombre de représentants pour le continent nord-américain est de 107, répartis comme suit :

·         États-Unis : 85 sièges

·         Canada : 15 sièges

·         Mexique : 7 sièges

Le groupe asiatique[modifier | modifier le code]

À l'origine, le troisième continent était exclusivement représenté par le Japon, qui disposait de 85 sièges, mais en 2000, ce groupe connut une expansion et devint le groupe représentant l'Asie Pacifique, composé de 117 membres répartis comme suit :

·         Japon : 75 sièges.

·         Corée du Sud : 11 sièges.

·         Australie et Nouvelle-Zélande : 7 sièges.

·         ASEAN (IndonésieMalaisiePhilippinesSingapour et Thaïlande) : 15 sièges.

Le nouveau groupe asiatique-Pacifique inclut aussi des membres des peuples de Hong Kong (5) et de République de Chine (Taïwan) (4).

La Trilatérale a des revues, publie des rapports.... Membre français : J. C. Trichet.
 

La John Birch Society soutient que la Trilatérale se consacre à la formation d'un gouvernement mondial4. En effet, cette commission prône une gouvernance mondiale réformée en tant que réponse à la crise5.

 

Livres : en français

·         Rencontres au sommet : quand les hommes de pouvoir se réunissent de Michael Gama, L'Altiplano (20 mars 2007), ISBN 978-2-35346-016-8 (Une enquête sur les membres du groupe Bilderberg et de la commission Trilatérale, entretien avec Pierre Marie Gallois)

·         Tous pouvoirs confondus : État, capital et médias à l'ère de la mondialisation de Geoffrey Geuens, éditions EPO (15 mars 2003), 470 pages, ISBN 2-87262-193-8, p. 30-37.

·         La Trilatérale et les secrets du mondialisme de Yann Moncomble, éd. Faits et Documents, 1980.

·         Pierre de VillemarestFaits et chroniques interdits au public : Tome 2, les secrets de Bilderberg, Aquilion, 2004, (ISBN 2951741529).

·         Pierre de VillemarestFaits et chroniques interdits au public : Tome 3, la Trilatérale, Aquilion, 2007, (ISBN 2951741545).

·         Gérard Soulier, "La Trilatérale, l’Europe et la France du VIIIe plan", in Sur l’Europe des années 80PUF, 1980, pp 13-56.

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V - Le groupe Bilderberg, aussi appelé conférence de Bilderberg ou club Bilderberg, est un rassemblement annuel et informel d'environ 130 membres, essentiellement américains et européens, et dont la plupart sont des personnalités de la diplomatie, desaffaires, de la politique et des médias.

Ce forum annuel a été inauguré en mai 1954 à Oosterbeek aux Pays-Bas, lors d'une réunion à l'hôtel Bilderberg (d'où son nom) et possède des bureaux à Leyde1. Il est au centre de plusieurs controverses du fait de sa non médiatisation et du caractère confidentiel du bilan des conférences.
Fondation

Prince Bernhard des Pays-Bas.

Dans les années 1950, les diplomates polonais Joseph Retinger et Andrew Nielsen, inquiets de la montée de l'antiaméricanisme en Europe occidentale en période de guerre froide, élaborèrent l'idée d'un forum international où les dirigeants européens et américains pourraient se réunir en vue de coopérations en matière militaire, économique et politique2. Hubert Védrine, ancien ministre des Affaires étrangères français explique : « À l'époque, le but était de convaincre les dirigeants européens et américains de resserrer les liens et de ne pas baisser la garde face à la puissante Union soviétique »3. Retinger aborda le prince Bernhard des Pays-Bas qui se rallia à l'idée, avec l'ex-Premier ministre belge Paul Van Zeeland, et le dirigeant de l'époque du groupe de produits de grande consommation Unilever, le Néerlandais Paul Rijkens. Bernhard contacta pour sa part Walter Bedell Smith, chef de la CIA, qui demanda au conseiller d'Eisenhower, Charles Douglas Jackson, d'examiner la proposition4.

 

Guy Mollet, dirigeant de la SFIO.

La liste d'invités devait consister en deux membres par pays, représentant la majorité et l'opposition de chaque pays2. Une réunion préparatoire a eu lieu le 25 septembre 1952, à l'hôtel particulier de François de Nervo, dans le 16e arrondissement de Paris5. La réunion rassemble alors Retinger, Van Zeeland, le prince Bernhard, Antoine Pinay (Président du Conseil et ami du baron de Nervo) et Guy Mollet (patron de la SFIO) et plusieurs personnalités étrangères. Parmi celles-ci se trouvent le Britannique Colin Gubbins (ancien général du Special Operations Executive contre l'occupant nazi), le Néerlandais Joseph Luns (ex-secrétaire général de l'OTAN) et le Danois Ole Bjørn Kraft (ancien ministre de la Défense et président du Conseil de l'Atlantique)5.

Paul van Zeeland, ex-premier ministre et ministre des affaires étrangères belge, cofondateur de l'OTAN.

La réunion inaugurale s'est tenue deux ans plus tard à l'hôtel Bilderberg, situé à Oosterbeek aux Pays-Bas, du 29 au 31 mai 1954. Cinquante délégués en provenance de onze pays d'Europe occidentale y assistèrent, aux côtés de onze américains dont David Rockefeller6. La réussite de l'événement motiva les organisateurs à organiser une conférence annuelle. Un Comité Directeur permanent fut mis en place, avec Retinger comme Secrétaire permanent. Les conférences eurent lieu en France, en Allemagne et au Danemark les trois années suivantes. En 1957 s'est tenue la première conférence outre-atlantique, sur l'île de Saint-Simon. Elle fut financée à hauteur de 30 000 dollars par la Fondation Ford, qui financera également les conférences de 1959 et de 19634,5.

Organisation

Conférence de Bilderberg est organisée annuellement par son comité directeur, qui comprend un président et un secrétaire général honoraire. La catégorie de « membre du groupe Bilderberg » n'existe pas, car les invités ne le sont que de manière ponctuelle. La seule catégorie qui existe est celle de « membre du comité directeur ». L'actuel président du comité directeur est l'assureur français Henri de Castries.

Chaque session a lieu pendant un week-end, dans un lieu généralement communiqué au dernier moment. Les participants, invités par le comité directeur, n'ont pas le droit de sortir de l'hôtel de résidence pendant les deux jours, et ne peuvent pas être accompagnés de leurs conjoints ou de leurs secrétaires. Un système de sécurité strict est mis en place, et tous les membres sont assis par ordre alphabétique, sans distinction protocolaire.

Jusque dans les années 1980, l'anglais et le français étaient les deux langues officielles de la conférence de Bilderberg, avant que l'anglais ne devienne la seule langue utilisée3.

Histoire des dévoilements

Quelques fuites sur l'existence de la conférence couplées à l'opacité des discussions ont alimenté diverses théories du complot pendant la guerre froide, par exemple chez le journaliste anti-maçonnique Roger Mennevée. Dans un article de 19678, il présente la conférence de Bilderberg comme faisant partie d'une conspiration mondiale visant à instaurer un gouvernement mondial (la « Synarchie »), dirigé par les États-Unis et comportant l’abandon des souverainetés nationales9. L'article de Mennevée contient toutefois des données historiques importantes, notamment le fait que toutes les personnalités françaises qui s’étaient associées au Bilderberg, telles que Georges PompidouAntoine Pinay, et Guy Mollet, étaient également les opposants les plus résolus à la politique nucléaire de Charles de Gaulle, le projet atlantiste auquel participait la conférence de Bilderberg ne pouvant se faire sans éliminer la force de dissuasion nucléaire française9. Lors de la réunion du groupe Bilderberg à Torquay en 1977, le journal Libération publie le texte écrit dix ans plus tôt par Mennevée9.

En 1976, un scandale de corruption, impliquant le prince Bernhard qui favorisait le groupe d'armement Lockheed auprès de l'armée néerlandaise, en marge du sommet et contre rétribution, faillit mettre fin aux réunions ; il survit toutefois, le prince étant mis à l'écart et remplacé par Alec Douglas-Home, ancien Premier ministre britannique3.

Le groupe Bilderberg n'est devenu un authentique objet d'étude qu'à partir des années 1979-1980. L'ancien agent des services de renseignement espagnols Luis M. González-Mata dévoile le fonctionnement du groupe Bilderberg en 1979 dans son essai Les Maîtres du monde10. Dans The Bilderberg and the West, paru en 1980, le chercheur Peter Thompson explique que le forum annuel de Bilderberg est une rencontre entre les dirigeants des multinationales les plus importantes et les figures politiques clés des pays occidentaux, afin de discuter ensemble des grandes problématiques internationales. En 2009, Frédéric Charpier présente le but des sommets Bilderberg comme une coordination euro-américaine « au nom des principes démocratiques, mais aussi dans l'intérêt du capitalisme »5. La même année, l'historienne Chloé Maurel explique que le groupe Bilderberg, dont elle souligne l'absence de transparence, a été créé dans le contexte de la guerre froide pour renforcer la coopération entre les États-Unis et leurs partenaires d’Europe occidentale11.

 

Denis Healey :  l'un des initiateurs de la conférence de Bilderberg de 1954 et membre du comité directeur pendant 30 ans, a expliqué en 2001 :

« Dire que nous cherchions à mettre en place un gouvernement mondial unique est très exagéré, mais pas totalement absurde. Nous autres à Bilderberg pensions qu'on ne pouvait pas continuer à se faire la guerre éternellement et à tuer des millions de gens pour rien. Nous nous disions qu'une communauté unique pouvait être une bonne chose12. »

En 2005, Étienne Davignon, autre membre important, a relativisé l'influence prêtée à la conférence de Bilderberg, à la BBC qui l'interrogeait sur les théories du complot :

« C'est inévitable, mais à quoi bon ? Il y a toujours eu des gens pour croire aux conspirations, seulement les choses arrivent de façon beaucoup moins cohérente… Quand les gens parlent de nous comme d'un gouvernement mondial secret, je me dis que, si nous sommes ce gouvernement, nous n'avons pas vraiment de quoi être fiers13. »

            En 2012, le procureur et sénateur italien Ferdinando Imposimato alimente la controverse historique sur l'implication des États occidentaux et de l'OTAN dans les attentats ayant secoué l'Italie des « années de plomb » : dans son livre La Repubblica delle stragi impunite14 (« La république des massacres impunis »), il défend la thèse de la « stratégie de la tension » mise en œuvre pour renforcer le pouvoir étatique, et dénonce dans celle-ci l'implication directe ou indirecte des réseaux secrets de l'OTAN de l'époque15, dont les cellules stay-behind italiennes (le « Gladio ») et le groupe Bilderberg.

Controverses sur la non médiatisation

La non médiatisation des conférences de Bilderberg, qui se tiennent au mois de mai ou juin de chaque année, a entraîné des spéculations sur une éventuelle discipline médiatique de silence qui violerait l'éthique journalistique. Parmi les reproches émis à l'encontre de Bilderberg, on notera la crainte de voir une structure collégiale abritant un petit nombre de personnes prendre, sans contrôle démocratique par des tiers, des décisions importantes en économie ou en politique. Des sources journalistiques belges évoquent la possibilité que les membres de la conférence s'engageraient à user de leur influence pour faire appliquer ce qui a été convenu au cours de la conférence16.

En 2003, en réponse à une question parlementaire, le Conseil fédéral suisse précise que :

« les conférences Bilderberg sont un forum d'échange sur les principaux sujets d'actualité dans les domaines les plus divers entre membres de gouvernements, diplomates, politiciens, personnalités de l'économie, représentants de la science, de la formation, de la presse et d'instituts spécialisés. […] L'objectif de cette conférence privée est une discussion libre et ouverte. Les participants y défendent leur opinion personnelle et n'y parlent pas au nom de leur gouvernement ou de leur employeur. C'est pour cette raison que les organisateurs renoncent à faire de la publicité autour de ces discussions. […] Les participants qui acceptent une invitation personnelle à la conférence se déclarent prêts à renoncer à toute publicité. Du reste, il ne s'agit pas de négociations, mais de discussions qui permettent et favorisent une mise en réseau des idées et des personnes17. »

Interrogé par le journaliste français Bruno Fay, Nicolas Beytout :

« J’ai fait trois Bilderberg. Mais on ne demande pas à participer : on est invité par le comité de direction. Nous sommes installés par ordre alphabétique, il n’y a absolument aucun protocole ni décorum. Des sessions thématiques sont annoncées à l’avance avec deux ou trois orateurs qui font un exposé avant d’ouvrir le débat avec la salle. La confidentialité est un gage très grand de sincérité qui permet aux participants de dire vraiment ce qu’ils pensent18. »

L'ancien ministre des Affaires étrangères français, Hubert Védrine :

« Cette idée de complot est une farce. Le Bilderberg réunit des gens du même monde qui se rencontrent dans d'autres cercles3. »

L'économiste français Nicolas Baverez :

« Contrairement aux fantasmes, aucune décision n'y est prise. En fait, on est là pour travailler. Les deux jours et demi sont très intenses. De 8 heures à 20 heures, il y a une succession de débats3. »

Ces débats comprennent un exposé de dix minutes puis trois minutes de questions, sur des thèmes aussi divers qu'« austérité et croissance » ou l'Occident face à l'Iran en 2012 ; seul Henry Kissinger ayant le droit de déborder du temps imparti. Lors de chaque réunion, deux journalistes de The Economist, en tant que greffiers, dressent un compte rendu écrit, lequel n'est pas rendu public, même si les sujets sont parfois communiqués ; si des critiques ont été émises sur l'opacité et la discrétion entourant les discussions, d'autres personnalités saluent en revanche la liberté de ton qui y règne3.

Dernières réunions
 

Article détaillé : Liste des rencontres du Groupe Bilderberg.

·         2005 : La réunion s'est déroulée du 5 au 8 mai, en Bavière. Celle-ci fut préparée par le comité de direction comprenant : Josef Ackermann de la Deutsche BankJorma Ollila de NokiaRichard Perle (ancien conseiller du Pentagone), Vernon Jordan (confident de l’ancien président Bill Clinton), Jürgen Schrempp de DaimlerChrysler,Peter Sutherland de Goldman Sachs InternationalMotorolaDaniel Vasella de Novartis et James Wolfensohn de laBanque mondiale. Étaient attendus Henry KissingerNatan Sharansky et Bernard Kouchner19. Cette année-là, un commentateur politique espagnol, Daniel Estulin, aurait réussi à infiltrer la réunion20.

·         2006 : La conférence a eu lieu du 3 au 6 juin à l'hotel Brookstreet situé a Kanata, en banlieue d'Ottawa, au Canada.

·         2007 : La réunion a eu lieu au Ritz-Carlton d'Istanbul (Turquie), dans le district de Şişli, du 31 mai au 3 juin21.

·         2008 : La réunion s'est tenue du 5 au 8 juin 2008 au même lieu qu'en 2002 : au Westfields Marriott à Chantilly,VirginieÉtats-Unis22,23.

·         2009 : La réunion s’est tenue du 14 au 17 mai à l’Astir Palace de Vouliagméni (station balnéaire proche d’Athènes), en Grèce. Parmi bien d’autres personnalités présentes à cette rencontre se trouvaient le vicomte Étienne Davignon, ancien vice-président de la Commission européenne et président honoraire du Groupe Bilderberg ; Francisco Pinto Balsemão ancien premier ministre du Portugal ; Franco Bernabè, PDG de Telecom Italia et vice-président de Rothschild Europe ; Carl Bildt, ancien premier ministre de la Suède ; Kenneth Clarke, ancien ministre conservateur et actuel ministre de la Justice au Royaume-Uni ; Richard Dearlove, ancien chef du service de renseignements britannique MI6 ; Claudio Jhovanny II Bertarelli, obscur homme d'affaires proche parent de Sir Evelyn de Rothshild et héritier des fondateurs de Merck-Serono; Donald Graham, PDG de la Washington Post Company ; Jaap De Hoop Scheffer, secrétaire général de l’OTAN ; John Kerr, membre de la Chambre des lords britannique et président de Royal Dutch Shell ; Jessica Matthews, présidente de la Dotation Carnegie pour la paix internationale ; Richard Perle de l’American Enterprise Institute ; Romano Prodi, ancien premier ministre italien ; J. Robert S. Prichard, PDG de Torstar Corporation et président émérite de l’université de Toronto ; Peter Sutherland, ancien directeur général de l’Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce(GATT), premier directeur général de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et actuellement président de British Petroleum(BP) et de Goldman Sachs International ainsi que membre de la direction de la Royal Bank of Scotland, président de la Commission trilatérale, vice-président de la Table ronde des industriels européens et membre de longue date de Bilderberg ; Peter Thiel, membre du conseil d’administration de Facebook; Jeroen van der Veer, PDG de Royal Dutch Shell ; Martin Wolf, rédacteur en chef adjoint et journaliste économique en chef du journal Financial Times et finalement Fareed Zakaria, journaliste américain et membre de la direction du Council on Foreign Relations.

·         2010 : La réunion s'est tenue du 3 au 6 juin à huis clos en Espagne, à Sitges (30 kilomètres de Barcelone)24.

·         2011 : La réunion s'est tenue du 9 au 12 juin en Suisse à Saint-Moritz. La liste des participants de cette conférence a été dévoilée par le site 20 Minuten Online25.

·         2012 : La réunion s'est tenue en juin à Chantilly aux États-Unis en Virginie26.

·         2013 : La réunion s'est tenue du 6 au 9 juin à Hertfordshire en Angleterre.

·         2014 : La réunion s'est tenue du 29 mai au 1er juin à Copenhague au Danemark27.

·         2015 : La réunion s'est tenue du 11 au 14 juin à Telfs-Buchen en Autriche.

 

Réunions bi-annuelles du comité de direction[modifier | modifier le code]

·         12 novembre 2009 : au château de Val Duchesse (à Bruxelles), dans le cadre de la désigna

Publié dans Société

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