784. Communisme, Capitalisme, Nouvel Ordre Mondial

Publié le par marike

Deux idéaux internationaux vécus comme athées et matérialistes : donner le bonheur à tous les peuples en partageant la manne financière.
Ce sont deux très beaux idéaux. Oui mais voilà : dans le concret, qu’est-ce que cela a donné ? qu’est-ce que cela donne : des idéologies ?

« Le livre noir du communisme » : des millions de morts dans le monde ; la tyrannie ; finalement l’extrême pauvreté du peuple russe et …le retour à la case départ : une grande nation, une grande religion judéo-chrétienne, un grand peuple qui dialogue avec le monde.

Le Nouvel Ordre Mondial et l’Union Européenne :
- les avancées sociales sont piétinées en Occident : on privilégie le travail international en pays sous développé ; les travailleurs y sont sous payés ; on prive de travail ceux qui ont acquis avec grand peine des avancées sociales dans les pays développés occidentaux de culture chrétienne. On « délocalise » ; on ferme peu à peu les usines et tous les bassins d’emplois en Occident. Il y reste le chômage, et de plus en plus de SDF. On favorise l’invasion, le travail au noir : une manne de travailleurs pauvres, légaux ou non, gagneront leur vie et feront baisser à terme les salaires (sauf ceux des dirigeants, bien entendu).
Les multinationales sont totalement libres d’aller mettre leurs avoirs dans des paradis fiscaux, de payer leurs impôts là où c’est le plus avantageux pour elles, d’enrichir leurs dirigeants au-delà de l’imaginable… Le principe des vases communicants s’effectue : on vide l’Occident et l’on remplit les pays sous-développés ; ainsi s’organise le partage.

Ce qui est grave, c’est que ces dirigeants de l’ombre oublient la culture qui les a fait naître, la transcendance par le judéo-christianisme. Ils la piétinent. Elle gêne car elle crée des obligations morales. Les dirigeants pensent d’abord à leur enrichissement personnel. Puis à celle de leur entreprise. Ils ne pensent pas au peuple.
Il est significatif que La France (Jacques Chirac) et la Belgique aient refusé la référence au christianisme comme racines de notre civilisation. Le jour où ils l’ont refusé, on peut dire que cela a été l’échec de l’UE, du projet capitaliste international.

Il faut reconnaître
avec l'Histoire, avec la connaissance de notre religion nationale :
- que l’essor de l’Occident vient de là, du christianisme. Sa grande réussite.
- Que la religion musulmane qui a comme fondement le Coran, la religion de la grande majorité des « envahisseurs », est un sous-produit déviant très pauvre du christianisme qui a comme fondement la Bible. L’Islam dans le Coran contient plusieurs idées très graves : 1) celle de conquête spirituelle, de conversion, par la violence et par le meurtre (comme si une « guerre » pouvait être « sainte »), 2) l’interdiction d’apostasier (la liberté de penser et de croire), 3) la soumission de la femme à l’homme (l’inégalité des sexes), et surtout 4) l’impossibilité de retoucher les textes, déjà retouchés en fait par le Califat dans ce sens déviant. Le christianisme, avec l’Inquisition, a connu cela, d’abord contre les Juifs et les musulmans, puis contre les protestants, et même jusqu’en 1789, mais, à la différence de la religion musulmane, ce n’était pas inscrit ni dans les Dix Commandements de Moïse, ni dans les évangiles (Bible : Exode 20. 1à17 ; Lévitique 19. 17-18 ; Deutéronome 6. 4-5 Marc 12. 28 à 31 – + Mt. et Luc –). Au contraire.

C’est l’oubli de la grandeur de notre civilisation qui nous a menés, qui nous mène à l’échec, et qui va nous mener au retour, à la case départ. En effet, nous avions tout ; après les vrais réfugiés, nous pouvions donner la priorité de l’accueil à nos frères chrétiens pauvres ; en effet l’immigration chrétienne légale des Européens chez nous n’a jamais posé de problèmes ; bien au contraire Il en aurait été de même pour les étrangers non européens chrétiens. Nous pouvions travailler à l’assimilation de ces migrants par l’école. Il fallait poser dès le départ des quotas pour éviter l’invasion. Nous aurions pu accueillir aussi des musulmans mais jamais en aussi grand nombre, ce qui risque de faire basculer notre civilisation.
C’est là que nous voyons que l’on nous a imposé l’invasion, et pour des causes fort peu nobles : l’enrichissement surtout personnel, et de l’entreprise, non le bien des peuples.

Que faire aujourd’hui ?
Reconquérir notre culture, toute notre culture d’origine chrétienne d’avant les années 60 :

1) Construire une Nation, ce n’est pas seulement penser à son porte-monnaie, mais d’abord à son âme. Le reste suivra, selon l’exemple du roi Salomon (Bible, I Rois. 3. 7 à 13).
2) peu importe que ce soit la nation européenne ou la nation France, mais qu’elle soit d’abord « Nation », et qu’elle montre sa réussite.
3) donner à tous les mêmes droits et les mêmes devoirs de citoyen, mais donner la prééminence à notre christianisme sous toutes ses formes, à la Bible, en un mot, et à chaque branche du christianisme qui correspond au pays européen, comme avant l’UE.

Cela veut dire :
1) remettre dans la constitution européenne ses racines judéo-chrétiennes.
2) arrêter l’invasion musulmane par des frontières nationales et européennes.
3) redonner les grands textes de la littérature européenne à l’école, les grands auteurs, et ne pas faire un tri immensément appauvrissant sous prétexte d’athéisme ou de laïcité. Non, Lamartine et Victor Hugo ne sont pas d’abord des hommes politiques, comme je l’ai vu affiché un temps pour nos élèves : ils sont de grands poètes.
4) redonner à l’école les repères historiques européens et nationaux fondamentaux
5) faire connaître la Bible à l’école, et ne pas l’éviter à tout prix, sous le mauvais prétexte de la laïcité ; reconnaître que c’est elle qui a fait, et qui fait notre grandeur.

La fameuse « déconstruction » des philosophes : où cela nous a-t-il mené, je vous le demande ? Où cela nous mènera-t-il ? Apparemment pour l’instant, depuis les années 60, à rien de bon… à la prééminence de l’argent, au retour du Veau d’or.

 

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