579 - 7 - ma petite revue de presse. Le 27 mai 2015

Publié le par marike

 579 - 7 - ma petite revue de presse. Le mercredi 27 mai 2015

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La Finlande préfère se préparer à sortir de l'euro plutôt qu'à payer les dettes des autres pays de la zone euro, affirme la ministre des Finances Jutta Urpilainen, vendredi dans le quotidien financier Kauppalehti.

http://m.20minutes.fr/economie/967291-finlande-prefere-sortir-euro-payer-dettes-autres
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Il s’agit d’un film :  Un Français,  Le deuxième film du réalisateur Patrick Asté, plus connu sous le nom de Diastème, montre un skin d'extrême droite sur le chemin de la repentance. Il raconte « le parcours d’un salaud qui va tenter de devenir quelqu’un de bien. » Le personnage principal du film, Marco, « cogne les Arabes et colle les affiches de l’extrême droite. Jusqu’au moment où il sent que, malgré lui, toute cette haine l’abandonne. Mais comment se débarrasser de la violence, de la colère, de la bêtise qu’on a en soi ? », lit-on dans le résumé.
         
Il effraie les responsables de salles. Ce long métrage qui s'annonce dérangeant ne trouve pas sa place dans le climat français actuel. «Les 50 avant-premières du film qui devaient avoir lieu dans 50 villes de France le mardi 2 juin sont annulées». Le Français devra encore sans doute  payer de sa poche pour cet échec.
          
Diastème regrette que son film ait été refusé au Festival de Cannes, et qu'il soit si difficile, dans le cinéma actuel, de dire des choses réelles avec des acteurs de talent qui ne sont pas forcément connus.
         
Depuis quelque temps déjà, le film souffre d'un «bad buzz». Il reçoit des critiques négatives sur les réseaux sociaux. Des sites pourtant extrémistes et des nationalistes crient au scandale: «Un film bobo insultant pour la Nation». Chose prévisible avec un sujet aussi sensible. Pourtant, ce lynchage provoque un délaissement de cette œuvre de la part des cinémas qui risque d'étouffer le long métrage avant même sa sortie. Beaucoup auraient peur des représailles et de possibles affrontements entre nationalistes et antifascistes dans leurs salles.          Résumons : le parcours d’une tête brûlée, ici d’extrême droite, mais il y en a autant à gauche... Donc un film indirectement de propagande (tendance à la généralisation) contre le parti de la nation (FN),  qui va être aussi programmé sur nos chaînes de TV...
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une réponse à Luc Serrano : Le bon grain et l'ivraie (Matthieu 13, 24-30).... l'Islam et l'Islamisme ... La laïcité, qui n'est pas l'athéisme, doit être fortement défendue dans un pays fort, vigilant (contre tous les prêches islamistes) et juste, contre tous les débordements qui la trahiraient ; c'est ainsi que la coexistence doit être préservée et l'islamisme combattu. Un pays mou, lâche et inactif n'arrive à rien. L'idéal est l'unité dans la diversité. ex : nos pays en Occident vivent très bien avec protestants et catholiques. Il faut d'abord croire en la France, en l’héritage de sa civilisation chrétienne

de Luc Serrano (26 05) :  "Le vice inhérent au capitalisme consiste en une répartition inégale des richesses. La vertu inhérente au socialisme consiste en une égale répartition de la misère." 
                                                                                                                                  W. Churchill

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Les Annales : Le 26 mars ...article de Pierre Nora dans le Figaro, page 14 : D’après cet article je tire l’idée qu’il y a deux partis en France : 1) celui du défaitisme : la France n’est plus rien ; l’histoire est celle des Annales, morcelée, éparpillée, internationalisée ; la civilisation chrétienne, c’est du passé ; seule l’Europe, essentiellement un grand marché... 2) L’autre parti, c’est celui de la nation, de son dynamisme, de notre histoire traditionnelle : la France est encore majoritairement chrétienne, elle est capable à condition qu’elle croie encore en elle, en ses valeurs chrétiennes civilisatrices, en sa possibilité d’assimilation de la religion musulmane par la laïcité.
Rappel : Qu’est-ce que les Annales ? (Wikipédia) « Début 1929Lucien Febvre et Marc Bloch fondent une revue dont la postérité sera sans précédent en France au xxe siècle : les Annales d'histoire économique et sociale. Cette revue, tout comme l'École, essaie d'écrire une histoire complète, une histoire « totale », en ne se limitant plus aux seuls aspects politiques, militaires ou diplomatiques... le « social » est hissé comme bannière, ...que ce soit au niveau économique et social ou au niveau balbutiant des mentalités... La naissance de l'École des Annales s'inscrit dans le contexte de l'entre-deux-guerres (1918-1939), où l'Occident est en proie à une grave crise de l'historicité (qui appartient à l’histoire, attesté comme tel), le sentiment du Progrès et de la continuité ayant perdu leur évidence, et la Première Guerre mondiale ayant secoué les certitudes d'une Europe triomphante...  Il s'agit de s'ouvrir aux autres sciences humaines, de les combiner entre elles...  Georges Duby écrivait dans l'avant-propos de son ouvrage Le Dimanche de Bouvines que l'histoire, que lui et ses collègues historiens faisaient, « rejetait sur les marges l'événementiel, répugnait au récit, s'attachait au contraire à poser, à résoudre des problèmes et, négligeant les trépidations de surface,  entendait observer dans la longue et la moyenne durée, l'évolution de l'économie, de la société, de la civilisation. » après une histoire culturelle (3e génération. 1970), une 4e génération (années 80) éclate en courants toujours plus nombreux...

 L'histoire culturelle s'affiche comme une histoire renouvelée des institutions, des cadres et des objets de la culture... Cette histoire culturelle se décline pour certains sous la forme de sous-disciplines, plus ou moins institutionnalisées : histoire des institutions et des politiques culturelles, histoire des médias et de la culture médiatique, histoire des symboles, histoire des sensibilités, histoire de la mémoire, histoire des sciences… D'autres, comme Dominique Kalifa, ont invité à moins considérer l'histoire culturelle comme l'analyse-inventaire des formes de la culture que comme un regard ou un questionnement, de nature anthropologique, portés sur l'ensemble des activités humaines... L’histoire culturelle participe des grandes inflexions qui ont marqué la discipline histoire depuis l’après 1945. Le glissement opéré par l’historiographie française, de l’économique au social, puis du social vers le culturel, de la « cave au grenier » (Michel Vovelle), s’est réalisé dans le même temps où le volontarisme économique n’avait plus valeur de credo et où une plus large place était faite, au sein de la société française, aux interrogations sur la « mémoire » et le « patrimoine ».
Mon petit point de vue : L’Ecole des Annales n’aurait pas dû entrer à ...l’école, mais rester à l’université et dans les domaines particuliers où elle pouvait s’exercer ; en effet, les écoliers n’ont plus de repères pour se créer une patrie (histoire du pays, conquêtes et chronologie, rois de France, histoire religieuse, personnalités et événements marquants) Que cela ne soit plus tant un roman, que cela tende vers plus d’objectivité pour dégager les leçons de l’histoire, c’est par contre cela qu’il faudrait faire.  Revoir les grands hommes politiques qui ont marqué notre pays, ce qu’ils ont construit, mais aussi les erreurs qu’ils ont commises, voilà des modèles et des contre-modèles à donner aux écoliers.
            Enfin donner une histoire des religions, et particulièrement de la chrétienne, dans nos écoles, afin de reconstruire la mémoire globale, l’identité de la France.
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Le Figaro du 26 05 2015 titre, p. 15 : A quoi nous a servi, en quatre ans, cette diabolisation de Bachar ?( de Renaud Girard) «  ... tout est dans le titre de l’article ! .. ; à partir du printemps arabe de 2011... Nous avons fait le choix de peindre tout en noir le régime et de fermer, en mars 2012, notre ambassade à Damas. Ne nous faisons aucune illusion, après la Syrie, Daesh s’attaquera au Liban... Et après, ce sera notre tour...

Ma conclusion (comme celle de beaucoup) : mais que font donc nos dirigeants ? Qui décide ?
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Pour trouver un article avec son adresse internet : 1) pour la révision des articles sur l’év. de Marc (2007/2015): jusqu’à celui du jour (1 à 41 pour aujourd’hui), voir leur liste à l’article 503.
2) pour les autres articles : aller à leur table des matières :    
1) voir dans la marge à PAGES :       
2) page 1 - "Comment aller aux archives" : puis, dans la liste des articles tout relever de l'article :   date + n° +  titre.           
3) utiliser en marge de l’article les encarts RECHERCHER ou/et ARCHIVES et coller les renseignements sur l'article. (le n° de l'art. suffit souvent)
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Pour finir, ma petite pub (mille excuses car je déteste la pub ! mais... !)
3 Livres de Marike (décrits sur la toile, dans ce blog, et recensions) :
- Anthologie de la prose française. 1100-1900. Ed. indépendante illustrée. 2005. 480 p. Prix : 26 €
(chez l’auteur, port compris)
- Etude des Evangiles, suivi de : Les Evangiles et l'écologie. L'Harmattan, coll. Chrétiens autrement. 2006. 155 p. Prix : 14,50 €
- Interroger sa foi. Du calvinisme au judéo-christianisme libéral. Préface du pasteur P. J. Ruff.
Editeur : Edilivre. 2013. 261 p. Prix : 20€
Livres de Michel Lefeuvre :
 
http://marike.over-blog.com/2015/02/non-au-materialisme-un-philosophe-des-sciences-art-541.html

 

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