122. Marc (suite et fin) 16. 1 à 8. Les femmes et la Résurrection. Lecture commentée.

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Article 122. Bible. Evangile selon Saint Marc 16. 1 à 8 (fin). Lecture suivie et détaillée, verset par verset.  Les femmes et la Résurrection. Lecture des compléments dans les autres évangiles, ici : Mt XXVIII, 1 à 8 ; Lc XXIV, 1 à 12 ; Jn XX, 1 à 10.

Ensevelissement

XVI, 1
Quand le sabbat fut passé, Marie- Madeleine, Marie, mère de Jacques, et Salomé achetèrent des aromates pour aller embaumer le corps de Jésus.
– XVI, 2 – De très grand matin, le premier jour de la semaine, elles se rendent au sépulcre alors que le soleil se lève,  - XVI, 3 - et elles se demandaient : « Qui donc nous roulera la pierre pour dégager l’entrée de la tombe ? »

Le lendemain du sabbat, le dimanche, D’abord sont nommées (peut-être par ordre d’importance pour l’auteur de l’évangile)
Marie-Madeleine qui est attestée dans les quatre évangiles,
Marie, mère de Jacques : ici un flou commence car 1) Marie est un prénom très courant dans l’entourage de Jésus. 2) l’auteur ne précise pas que c’est la mère de Jésus 3) Il y a cinq Jacques dans les Evangiles, selon le site : http://www.interbible.org/interBible/decouverte/comprendre/2004/clb_041015.htm
Salomé (selon le Dict. du N. T. de X. L. Dufour) est peut-être la mère des fils de Zébédée, père de Jacques et de Jean (Mc. 1.20 ; Lc. 5.10 ; Mt. 4.21 et Mt. 27. 56).
Quant à Jean, (19. 25) il brouille un peu nos cartes à ce sujet.

L’aube point : heure poétique et symbolique entre toutes : le soleil de la Résurrection pointe.

Ce sont les femmes qui ont le privilège d’être là…. Entre toutes servantes de tous… Pourtant un homme, ou plusieurs, seraient bien utiles pour rouler la pierre …

 

XVI, 4
Elle regardèrent et s’aperçurent que la pierre, qui était énorme, avait été enlevée.
– XVI, 5 -  Alors elles entrèrent dans le tombeau et virent, assis à droite, un jeune homme revêtu d’une robe blanche. Elles furent saisies de terreur.  – XVI, 6 – Il leur dit : « Ne vous effrayez pas ; vous cherchez Jésus de Nazareth, le crucifié ; il est ressuscité ; il n’est pas ici. Voyez la place où on l’avait déposé.

Voici mon hypothèse, parmi tant de « blancs » laissés aux textes des évangiles :

On peut se poser cette question : si Jésus est ressuscité  dans son corps, la résurrection nécessite-t-elle que la pierre soit roulée ? Ou est-ce de main d’homme que le corps est parti ?

Résumons d'abord la version de Jean, la plus différente des quatre versions : On n'y parle pas des gardes. Marie-Madeleine arrive seule au tombeau vide et va prévenir Pierre et "Jean", puis, se tenant dehors, elle pleure, et, deux anges, puis Jésus ressuscité, lui apparaissent. Pierre et Jean sont aussi surpris qu'elle. Ensuite ils croient.

Ensuite, qui est ce jeune homme vêtu de blanc ?
     Selon Luc (XXIV,4) ce sont « deux hommes, …vêtus de robes resplendissantes ». 
     Selon Matthieu, qui montre toujours une version exagérée, "épique", mais poétique, surtout par rapport à Marc, mais aussi par rapport à Luc :
« Tout à coup il se fit un violent tremblement de terre : c’était un ange du Seigneur qui descendait du ciel ; il s’approcha de la pierre, l’éloigna en la roulant et s’assit dessus. Son aspect était foudroyant, ses vêtements blancs comme la neige… tremblants d’épouvante devant lui, les gardes étaient comme des morts… »

La version de Matthieu, très poétique, épique, ne correspond pas à celle de Marc et montre des contradictions : si les gardes sont encore là chez Matthieu, chez Marc, on n'en parle plus ;  ils sont devenus inutiles. Matthieu par cette image a sans doute voulu expliquer pourquoi la pierre avait été nécessairement roulée…

Selon Luc, il y a deux jeunes hommes …est-ce encore une autre adaptation au texte, pour pouvoir rouler cette « énorme pierre » ?

Le fait que les femmes soient saisies de terreur provient de leur sensation de surnaturel, imaginaire ou réel.

Admirons avec quelle sobriété Marc rend compte de cet événement, si bien que ce « jeune homme » peut être aussi bien quelqu’un que  Joseph d’Arimathée a laissé là pour prévenir les femmes chargées des soins du corps, et leur laisser un message ; c’est celui du propriétaire croyant et instruit.

Si le corps a été enlevé de main d'homme, alors, la Résurrection du Christ serait « en Esprit » ; de nos jours, il vit toujours… Selon l’Evangile de Marc, si sobre, les deux interprétations sont possibles : 1) surnaturelle (classique et habituelle, selon Matthieu et Luc, ce dernier dans une moindre mesure) et 2) naturelle (possiblement chez Marc ; Jean passe ce passage délicat de l’arrivée des femmes au tombeau).

Il est significatif que Marc arrête là son Evangile [ en note : l'évangile de Marc se termine ici dans les deux plus anciens manuscrits.], et ne conte plus aucun « miracle », comme ceux que les trois autres évangélistes rapporteront , même s'il se prolonge jusqu'au verset 20 …

XVI, 7
Et maintenant, allez dire à ses disciples et à Pierre qu’il vous précède en Galilée ; là, vous le verrez, comme il vous l’a dit1. »

Note 1 : voir Mt. 28, 7 : un ange le dit aux femmes; Mt 28. 10 : Jésus le leur confirme. J’avoue ne pas trouver ce passage chez Marc où Jésus avait déjà dit à ses disciples qu’il les précèderait en Galilée (« comme il vous l’a dit »). Alors je prends cela au figuré, avec l’esprit de la vigile pascale 2005-2006 des dominicains de Belgique-Sud : « circulez, il n’y a rien à voir ! » (Prédication.org). La vision du Christ vivant, ils l’auront quand ils auront quitté cet instant présent douloureux et mystérieux, instant devenu passé, instant de Jérusalem, quand ils l’auront quitté pour l’avenir, un avenir lumineux, de la  Galilée jusqu’au monde entier, par l’Esprit Saint. Faut-il parfois un certain recul, un certain temps, pour mieux voir ?

XVI, 8
A leur sortie du tombeau, elles prirent la fuite. Elles étaient toutes tremblantes de crainte, bouleversées, et ne dirent rien à personne…

Est-ce une vision ? Est-ce une réalité ? C’est ce profond mystère qui restera tel jusqu’à nos jours, mystère éclairé seul par la foi particulière de chacun. Et qu'importe, après tout ? L'essentiel est qu'aujourd'hui le message de Jésus nous soit parvenu, et nous ne remercierons jamais assez tous ceux qui nous l'ont préservé et transmis.

ET APRES ?

Tel est l’Evangile de Marc selon les deux plus anciens manuscrits.
C'est pourquoi je n'ai pas traité la fin de l'Evangile de Marc (16. 9 à 20) qui risque de ne pas être authentique.  Ou l'ai-je traité chez un autre évangéliste ?
( sont ajoutées : « apparitions diverses et Ascension », chap. XVI, v. 9 à 20, que l’on retrouve dans Mt. 28. 16 à 20 ; Lc. 24. 13 à 43 ; et Jn. 20. 1 à 29).
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Précisions que dans cette partie : « apparitions diverses et Ascension » il y a un verset qui ne se trouve que chez Matthieu :


Mt. 28. 18. Jésus s'étant approché leur parla ainsi : "toute puissance m'a été donnée dans le ciel et sur la terre.  allez donc, enseignez toutes les nations, baptisez-les au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit..."

C'est la seule phrase des Evangiles sur laquelle s'appuie le dogme de la Trinité, d'où son importance.
Je voudrais faire quatre remarques à ce sujet :
1) dans "The Five Gospels" du Séminaire d'exégètes sur Jésus (Polebridge Press Book, 1993) ce passage est imprimé en noir et en gras, ce qui veut dire : "...Jésus n'a pas dit cela... sans doute quelque erreur..." 
2) Cette énumération, où chaque terme est séparé, ne veut pas dire du tout que Jésus est Dieu, ni à plus forte raison qu'il fait partie d'une Trinité d'un seul Dieu.
3) Jésus dans les Evangiles se reconnaît Messie/Christ, et roi ; il ne se reconnaît pas Dieu, à moins de considérer que tous les croyants, les justes sont des Dieux :

Jean 10
32 Jésus leur dit: Je vous ai fait voir plusieurs bonnes œuvres venant de mon Père : pour laquelle me lapidez-vous? 33 Les Juifs lui répondirent: Ce n'est point pour une bonne œuvre que nous te lapidons, mais pour un blasphème, et parce que toi, qui es un homme, tu te fais Dieu. 34 Jésus leur répondit : N'est-il pas écrit dans votre loi: J'ai dit : Vous êtes des dieux?… (en note : cf Psaume 82 : Dieu s'irrite contre les juges iniques : 6. J'avais dit : vous êtes des dieux ; vous êtes tous des fils du Très-Haut ! 7. Néanmoins vous mourrez comme les autres hommes...)
4) Les Epîtres de Paul sont antérieures aux évangiles qui ont donc pu être influencés par elles. Or Paul, qui avait martyrisé les chrétiens, semble avoir voulu se racheter en augmentant dans ses écrits la stature de Jésus-Christ jusqu'à le diviniser. Voir à ce sujet
l'article
626. Conclusion de la lecture des épîtres de Paul (ss titre : Epîtres de Paul : bilan de lecture. Vue d'ensemble) -08 02 2016 - 
http://marike.over-blog.com/2016/02/626-conclusion-de-la-lecture-des-epitres-de-paul.html

Ma double conclusion : ce dogme de La Trinité ne vient pas des Evangiles. C'est Paul qui le premier a divinisé Jésus.
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un mot : Résurrection
Résonances littéraires :
-
Et de là nous sortîmes pour revoir les étoiles...
La Divine Comédie. Dante (L'auteur passe de "l 'Enfer "au "Purgatoire")
-
Un Hosannah qui  m’a toujours, depuis, laissé le désir de l’entendre…
La Divine Comédie, Le Paradis VIII. Dante
-
Quel jour étonnant, que le jour où l’homme s’est mis à se croire éternel !
Antimémoires. André Malraux ( 1901 – 1976).                                                              

- L’art et la religion ne sont pas deux choses, mais plutôt l’envers et l’endroit d’une même étoffe.
Préliminaires à la mythologie.
Emile Chartier, dit Alain  (1868 – 1951)

Résonances musicales :
-
Jésus que ma joie demeure

(extrait de la cantate BWV 147 de Jean Sébastien Bach)
-
Le Messie de Haendel

- A toi la gloire :
A toi la gloire, O Ressuscité,
A toi la victoire, Pour l’Eternité !
Brillant de lumière, l’ange est descendu ;
Il roule la pierre du tombeau vaincu…

Cantique n° 150 du recueil « Louange et prière »
Edmond Budry (paroles. 1885) / Haendel - 1746 -

Résonances : Bas-relief et peinture :
-
Le Christ ressuscité  Le tympan du portail central du narthex de la basilique de Vézelay  (vers 1150)
-
Les Pélerins d’EmmaüsRembrandt.

MON HYPOTHESE :


Et si, autour des textes de la Résurrection, à la fois, les Synoptiques -qui ont une version à peu près commune- et Jean avaient raison, dans quelques unes de leurs affirmations ?

Voilà les éléments où ils divergent :

- Jn XIX, 39-40 : Nicodème est avec Joseph d'Arimathie : tous deux procèdent aux rites d'ensevelissement du corps. Dans la version des Synoptiques, il n'en est pas question : Joseph d'Arimathie est seul et il ne procède pas aux rites.

- Jn XX, 1 : Marie-Madeleine d'abord est seule, alors que dans les Synoptiques elle est accompagnée des "saintes femmes" ; toujours, Marie, mère de Jacques et de José, parfois Salomé (la mère des fils de Zébédée ? Mt XXVII,56 ), Jeanne (selon Lc XXIV, 10), et d'autres.

- Jn XX, 11 à 18 : Jésus apparaît à Marie-Madeleine, restée seule au tombeau après avoir été prévenir les disciples, et après l'aller et retour des deux apôtres, alors que dans les Synoptiques, toutes les femmes partent ensemble prévenir les disciples et ne reviennent plus.

- Jn XIX, 25 : la "mère de Jésus" est enfin nommée, lors de l'épisode de la Crucifixion, et, pour brouiller encore plus  les cartes :
["ainsi que Marie, femme de Clopas"...c'est la première fois que l'on entend parler d'elle..."Cléopas : époux (ou père ? ) de Marie, la mère de Jacques le Mineur et de Joseph (ou José). Clopas, invraisemblablement identifié avec Alphée", selon le dictionnaire du N. T. de X. L. Dufour].

Ces hypothèses s'accordent en partie si l'on  pense que  la famille de Jésus : en particulier Marie et "le frère du Seigneur" -l'apôtre Jacques, futur chef de l'Eglise de Jérusalem- et les apôtres en accord avec eux, n'ont pas vu du tout d'un bon œil que Jésus soit dans une tombe étrangère à la leur : la tombe de famille. Ils ont donc déplacé le corps avec l'aide d'un responsable aux yeux des gardes, de Nicodème "pharisien, notable juif, "docteur d'Israël", peut-être membre du Sanhédrin ( Dictionnaire du N. T. de X. L. Dufour).

Ensuite on a voulu imposer la thèse de la résurrection du corps -et non du seul esprit- et l'on a pu remodeler les Evangiles dans ce sens. Précisons qu'un Sémite ne fait pas de différence entre l'esprit et le corps, donc il doit y avoir une résurrection globale ; cette différence vient des Grecs...

...Pourtant nous avons avant les Grecs les paroles de Jésus : Mc IX, 31-32 : ".Le Fils de l'homme...après 3 jours il ressuscitera. Mais ils (les disciples) ne comprenaient pas ce langage..." ; Mc XII, 25 : "Ceux qui ressuscitent d'entre les morts ne se marient pas ni ne se donnent en mariage, mais ils sont dans les cieux comme des anges..;" dit Jésus ; Enfin, Jn XIV, 15-21: "je prierai le Père et il vous donnera un autre Consolateur, afin qu'il soit pour toujours avec vous, l'Esprit de vérité...vous, vous le connaissez, parce qu'il demeure avec vous, et il sera en vous... "


Mon  hypothèse :
Joseph d'Arimathée est donc seul à demander à Pilate le corps, à déposer le corps dans un tombeau neuf, à lui, mais c'est le sabbat, et il ne peut rien faire de plus. Alors arrivent, imaginons à minuit et quelques minutes, Nicodème, la famille de Jésus et les Apôtres ;      Nicodème impose son autorité aux gardes ; ils roulent la très lourde pierre, ils emmènent le corps, possiblement dans la  propre tombe de famille de Jésus, à l'insu des femmes, et ils procèdent à l'embaumement et au rite d'ensevelissement.
     Cette hypothèse s'accorde avec Mt XXVIII, 11 à 15 : le rapport des gardes aux chefs des prêtres : ceux-ci leur disent : "
Vous direz que ses disciples sont venus pendant la nuit et qu'ils l'on volé pendant que vous dormiez..."

Marie, la mère de Jésus, recommence à jouer un rôle à ce moment-là ; ses yeux s'ouvrent peut-être avec la crucifixion de son fils... elle va suivre, ou précéder son fils Jacques, dans cette décision.

L'essentiel est Jésus, rempli de l'Esprit divin.

« Oui » à cette magnifique image de la Résurrection du Christ, illustrée par les poètes… mais « Oui », plus encore, à l’esprit de cette image : Jésus, homme, mort un très court moment à l’Espérance –trois jours, dit-on, dans la parabole- mais ensuite, Esprit, ressuscité jusqu’à nos jours…


Mais où est Emmaüs ? (Les disciples d'Emmaüs : Luc 24. 13 à 35)
Prédication du  23 avril  2017 par Louis Pernot, pasteur au Temple de l'Etoile à Paris    Lire   Ecouter   Voir la vidéo

Un mot / un poème :LUMIERE  - "Bénédiction". Les Fleurs du mal.
Charles Baudelaire  ( 1821-1867 )

 

   Vers le Ciel, où son oeil voit un trône splendide,
Le Poète serein lève ses bras pieux,
Et les vastes éclairs de son esprit lucide
Lui dérobent l'aspect des peuples furieux :

- « Soyez béni, mon Dieu, qui donnez la souffrance
Comme un divin remède à nos impuretés
Et comme la meilleure et la plus pure essence
Qui prépare les forts aux saintes voluptés !

Je sais que vous gardez une place au Poète
Dans les rangs bienheureux des saintes Légions,
Et que vous l'invitez à l'éternelle fête
Des Trônes, des Vertus, des Dominations.

Je sais que la douleur est la noblesse unique
Où ne mordront jamais la terre et les enfers,
Et qu'il faut pour tresser ma couronne mystique
Imposer tous les temps et tous les univers.

Mais les bijoux perdus de l'antique Palmyre,
Les métaux inconnus, les perles de la mer,
Par votre main montés, ne pourraient pas suffire
A ce beau diadème éblouissant et clair ;

Car il ne sera fait que de pure lumière,
Puisée au foyer saint des rayons primitifs,
Et dont les yeux mortels, dans leur splendeur entière,
Ne sont que des miroirs obscurcis et plaintifs ! »

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Cet article est aussi inséré dans l’ensemble plus vaste de mon école du dimanche biblique entièrement sur la toile (sans doute la première...) :

819. Ecole du dimanche. Mars-Avril. 6e sem. Sépulture et résurrection du Christ
http://marike.over-blog.com/2017/10/819.ecole-du-dimanche.mars-avril.6e-sem.html
820. Ecole du dimanche. Mai. 1e sem. Juste après la Résurrection du Christ
http://marike.over-blog.com/2017/10/820.ecole-du-dim.mai.1.apres-resurrec.christ.html


(  Le premier article d’école du dimanche a le numéro 809, à l’adresse :
http://marike.over-blog.com/2017/09/809-ecole-du-dimanche-octobre-2017.html  )
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2) Allez à la fin des archives, à la  section 10, où commence la liste des articles de l’école du dimanche  entièrement sur la toile, avec leur lien
(Première partie :  articles 809 à 886)
[Sinon relever leur n°, leur titre, et  leur date  de création et les insérer dans les encarts « Rechercher » et « Archives » (classées par année et par mois) vers la fin de la marge de droite de l’article].

 

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