379 - La France en grève. Politique. Société. démographie. Chômage

Publié le par marike

 

La France en grève : Politique. Société. Démographie. Chômage

 

20 10 2010 - 59333516.html - Essai de réflexion sur la grève…

 

1) Les enfants ont comme devoir, non de faire grève, mais  d’apprendre.
 Apprendre par cœur n’est pas opposé à comprendre ; les deux doivent aller de pair. Et revoir.

Apprendreles règles de grammaire par cœur, les 5 conjugaisons-types de base,  savoir orthographier, écrire sans majuscules inutiles, apprendre à lire sans méthode globale (méthode qui n’a pas fait ses preuves, au contraire, handicapante, selon le grand scientifique actuel Stéphane Dehaene, dans « Les neurones de la lecture »), à rédiger, apprendre à compter, enfin. C’est le BA BA  pour un accès à tout apprentissage, à un métier. C’est la vraie citoyenneté ; c’est comme cela que les jeunes peuvent se rendre le plus utile à leur pays. Leur courage n’est peut-être pas là où on le pense.

 

2) Les enfants qui font grève, c’est l’arrivée des casseurs –du même âge- sur les lieux.

 

3) La solution au chômage -utopique ? - c’est, selon moi, avec des conséquences en cascade :

 

a) l’arrêt de la société de consommation, l’arrêt des brocantes : le surplus mis en vente.
b) 1 seul salaire par ménage, ou 2 mi-temps, consenti de plein gré  -dur, dur : l'aurais-je consenti ? - ce qui dégage des emplois pour les autres, mais des prix plus raisonnables dans le commerce.

c)1 parent, ou 2 en alternance, au foyer pour une présence affective, et culturelle : l’aide aux devoirs et aux leçons, en particulier. Disparition du  « stress » par le temps dégagé. 

d) Une hausse du taux de natalité,

e) L’arrêt d’une immigration étrangère à nos mœurs, à notre civilisation, qui a échoué. Un pays ne peut ni ne doit, à long terme, avoir deux lois : la loi républicaine, laïque, produit de notre civilisation, indépendante du religieux, garante des libertés de pensée et d'expression, et plus ou moins la charia, loi politique d’une seule religion. ce que j'ai retenu du "C dans l'air", émission télévisée d'Yves Calvi, du 20 10 2010, c'est qu'il serait souhaitable qu'il y ait un concordat entre la France et les musulmans, mais que ceux ci n'ont pas voulu  choisir un représentant pour dialoguer avec l'Etat. Ce serait peut-être pour eux un moyen de se sentir vraiment français, et d'être reconnus comme tels. 

 

4) Une Europe qui en soit une, c’est à dire qui se reconnaisse par ses frontières d’origine chrétienne, et non une Europe des financiers, matérialiste, qui est en réalité mondialisation (où tous les emplois partent à l’étranger, puisqu’ils y sont moins payés, du fait aussi qu’ils n’y ont pas de protection sociale équivalente).

Une Europe spirituelle, des idéaux, non une Europe des financiers, matérialiste.

Une Europe qui conserve ses identités, ses patriotismes, pour tendre à les unifier naturellement, avant tout selon un axe de recherche spirituelle commune, œcuménique, sans laquelle rien n’est possible, sans laquelle tout se dégrade. Remettre le spirituel de haut niveau, non fondamentaliste ni intégriste, en tête… Là où tous peuvent se rejoindre...

 

5) Ne pas confondre une réforme des retraites malheureusement obligatoire pour tous les pays européens, douloureuse - comment en est-on arrivés là ? Les véritables responsables ne sont-ils pas  ceux qui ont joué avec l’argent des autres, de manière irresponsable ? – et l’arrivisme politique d’un parti d’opposition qui jette de l’huile sur le feu, et pour lequel tous les petits prétextes sont bons, qui n’a aucun programme de gouvernement à proposer, sauf de contrer et de faire barrage à la politique de celui qui est en place.

Ne pas confondre la crise –grave- et ses conséquences, d’une part,  et celui qui endosse la responsabilité suprême pendant la crise, d’autre part, alors que la crise dépasse largement nos frontières. Rétablir l’équilibre financier (souhait : que les gouvernements perdent l’habitude de dépenser plus que ce qu’ils ont en caisse) c’est faire de gros sacrifices.

Le droit de grève n’engage que moi, il me coûte, il est non violent, c’est un droit à la protestation ; ne pas le confondre avec le droit des autres, par la violence, le blocage par tous les moyens de ceux qui veulent travailler, des non-grévistes (l’essence, les transports, le barrage aux entrées), et cela, c’est un héritage communiste de mai 68 :  « la fin justifie les moyens. » La politisation des enfants fut accordée aux professeurs des établissements scolaires, au lieu du devoir de réserve, considéré par les communistes de l’époque comme étant de droite..

Publié dans Société

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